Gazouilleuse intérimaire
Vais-je enfin réussir à reprendre du service ici ? J'en sais trop rien, et ce pour plein de raisons, toutes très bonnes cela va de soi. J'ai un bout de billet en tête depuis plusieurs jours pour expliquer tout ça mais j'ai toujours mieux à faire quand je rentre le soir (une newsletter à écrire, une tarte aux cerises à enfourner, une formation à préparer, deux épisodes de Desperate housewives à regarder, voire un apéro à boire). Mais passons, là n'est pas la question.
En fait, si je reprend le clavier ce soir, c'est pour faire part au monde entier qui me regarde de mon inscription sur cette saloperie magnifique invention qu'est Twitter (ça se passe là : http://twitter.com/AureliB et je n'ai rien à y dire). Je suis à peu près certaine que ce compte va s'autodétruire d'ici quelques mois, quand je n'en aurai plus besoin (un peu comme ce qu'aurait dû faire celle qui squatte mon identifiant en ayant juste posté un message il y a un an...). Mais il fallait que j'essaye, par pure conscience professionnelle. Pour mourir moins bête aussi. Enfin l'idée, c'est d'être capable de parler de Twitter à mes stagiaires du CNFPT la semaine prochaine autrement que de façon très théorique : réactivité, nouvelle source d'info, web 2.0 et tout le blabla. Bref, me voila (temporairement) twitteuse. Pour l'instant je ne suis personne et forcément personne ne me suit ; je m'occuperai de ça ce week-end (j'ai vécu 33 ans sans Twitter, je ne suis pas à 2 jours près...). J'ai été assez surprise par la lenteur du bouzin, insupportable. De quoi secouer l'ordi pour que ça avance plus vite, un comble pour un truc qu'on nous présente comme un modèle d'immédiateté !
Y'a rien à faire, à la ville comme sur la toile je reste une sauvage (doublée d'une vieille conne)...
Macaque japonais, région de Nagano, mars 2009