Santé bonheur !
J'ai un peu traîné pour vous adresser tous mes voeux comme le veut la coutume, la faute à une saleté de gastro qui m'a clouée aux toilettes au lit, histoire de fêter dignement l'an neuf. Le méchant virus a néanmoins eu la décence de ne se manifester que le 1er au petit matin, ce qui m'a permis de profiter des festivités comme il se doit et d'apprécier à sa juste valeur le système médical mis en place les jours fériés. A cette occasion, j'adresse un grand coup de chapeau aux trois personnes âgées mal-comprenantes ayant eu la bonne idée de venir renouveler leur ordonnance pour les varices et/ou l'hypertension à midi, dans la seule pharmacie de garde de la rive droite...
Point de bonne résolution, à quoi ça sert sinon à se dire le 31 décembre qu'on ne les a pas tenues, quand on ne les a pas oubliées. De toute façon, j'ai déjà arrêté de fumer, et quand je pense à la douzaine dizaine de bouteilles de Fronsac qui m'attendent à la cave avec quelques merveilles ligériennes, bourguignonnes ou rhône-alpines, je n'ai pas l'intention de les laisser dormir (et ne parlons pas du Minttu finlandais, qui débouche en un clin d'oeil les sinusites les plus récalcitrantes). Je vais juste essayer d'être un peu plus assidue sur le blog, de traiter mes photos de vacances en moins de 6 mois et de passer moins de temps à élever mes Sims. Et je ne prévois même pas de régime, la dizaine de jours au Japon étant censée, comme en 2008, faire son office sans que j'aie à me forcer (-6 kg sans rien demander, qui dit mieux ?).
Bonne année à tous. Que l'année 2009, qu'elle soit 2.0 ou pas, soit pleine de surprises, joies, bonheurs, croissants au beurre. Je vous laisse avec le grand Pierre et un ciel hivernal.
"Le but de l'homme moderne sur cette terre est à l'évidence de s'agiter sans réfléchir dans tous les sens, afin de pouvoir dire fièrement, à l'heure de sa mort :
Etretat, février 2008